segunda-feira, 18 de maio de 2009

MEMÓRIAS DO TEMPO EM QUE ALGUNS ANIMAIS FALAVAM... E CANTAVAM



Já que falamos da família... "Les bourgeois" de Jacques Brel. Era no tempo em que alguns animais falavam... E cantavam.


LES BOURGEOIS

Le coeur bien au chaud
Les yeux dans la bi�re
Chez la grosse Adrienne de Montalant
Avec l'ami Jojo
Et avec l'ami Pierre
On allait boire nos vingt ans
Jojo se prenait pour Voltaire
Et Pierre pour Casanova
Et moi, moi qui �tais le plus fier
Moi, moi je me prenais pour moi
Et quand vers minuit passaient les notaires
Qui sortaient de l'h�tel des "Trois Faisans"
On leur montrait notre cul et nos bonnes mani�res
En leur chantant

Les bourgeois c'est comme les cochons
Plus ça devient vieux plus ça devient bete
Les bourgeois c'est comme les cochons
Plus ça devient vieux plus ça devient c...

Le coeur bien au chaud
Les yeux dans la bi�re
Chez la grosse Adrienne de Montalant
Avec l'ami Jojo
Et avec l'ami Pierre
On allait br�ler nos vingt ans
Voltaire dansait comme un vicaire
Et Casanova n'osait pas
Et moi, moi qui restait le plus fier
Moi j'�tais presque aussi saoul que moi
Et quand vers minuit passaient les notaires
Qui sortaient de l'h�tel des "Trois Faisans"
On leur montrait notre cul et nos bonnes mani�res
En leur chantant

Les bourgeois c'est comme les cochons
Plus ça devient vieux plus ça devient bete
Les bourgeois c'est comme les cochons
Plus ça devient vieux plus ça devient c...


Le coeur au repos
Les yeux bien sur terre
Au bar de l'h�tel des "Trois Faisans"
Avec ma�tre Jojo
Et avec ma�tre Pierre
Entre notaires on passe le temps
Jojo parle de Voltaire
Et Pierre de Casanova
Et moi, moi qui suis rest� le plus fier
Moi, moi je parle encore de moi
Et c'est en sortant vers minuit Monsieur le Commissaire
Que tous les soirs de chez la Montalant
De jeunes "peigne-culs" montrent nos leur derri�re
En nous chantant

Les bourgeois c'est comme les cochons
Plus ça devient vieux plus ça devient bete
Les bourgeois c'est comme les cochons
Plus ça devient vieux plus ça devient c...

3 comentários:

  1. Vagueando pelas letras, cá vim parar de novo. Com o prazer de sempre. O abraço de sempre.

    Pedro Branco

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  2. Este homem é eterno. Como eternas são as suas cantigas.
    Obrigada!

    Beijo

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